∞ J'adore manger. Manger est réellement un plaisir et bien sûr, je ne me prive pas. Bonbons, chocolats, glaces et plats assez caloriques, franchement les bonnes choses. Mon copain râle parce que je mange trop ou pas assez sainement. Parfois pour l'embêter et l'entendre râler, je lui fais quelque chose de bien consistant. Pour éviter les engueulades, avant le boulot et après mon fruit et mon café du matin, je pars m'empiffrer sur la pâtisserie en face de mon travail. Cela évite les engueulades et au final, tout le monde est content. J'essaie de me maintenir en forme pour mon travail et pour mon chéri, alors je vais courir quand je le peux histoire que je ne sois pas épuisée quand je dois interpeller quelqu'un et qui prend la fuite.

∞ J'ai une peur horrible des ascenseurs depuis que je suis petite et que je suis resté enfermé plus d'une demi-heure dans un ascenseur dans le noir complet et le sentant descendre d'un ou deux étages, quinze minutes après qu'il s'est arrêté, quand le trajet dure trop longtemps, je me mets à paniquer et à avoir des sueurs froides. Mon copain étant très taquin, joue avec ça, j'ai qu'une envie, c'est de le taper, réellement.

∞ Je n'ai pas un caractère facile, je me vexe très vite et je ne supporte pas les critiques. Cela a plus le don de m'énerver qu'autre chose. Terrence a pas mal subi les frais de mon caractère, quand je suis vraiment énervée, je préfère faire un tour plutôt que de dire des choses que je pourrais regretter et revenir après, plus calme. Même dans mon boulot, c'est comme ça. Je fais toujours ce que j'ai envie et je ne regarde pas si ça plait après. Le truc que Terrence me reproche le plus : d'être jalouse, je ne peux pas m'en empêcher, ce sentiment me bouffe à chaque fois qu'une fille s'approche près de lui, dans ma tête, la fille est morte au moins trois fois et je me sens parfois -voir souvent- le besoin d'intervenir et de me manifester. Je n'ai pas que des défauts, je suis bon public et je peux rire de pas mal de choses. J'aime bien qu'on m'embête et j'adore embêter mon monde. Je suis agréable quand je le veux et je peux être serviable aussi.

∞ Mon copain collectionne les chaussures, moi c'est les sacs à mains, c'est comme une passion, je me freine un peu plus que lui -heureusement pour nous- mais j'en ai pas mal. En dehors de mon travail, je suis féminine bien que quand je suis fatigué, ça ne me dérange pas de porter les t-shirt de mon copain, un gros pull, comme une jolie robe de fille. Enfaîtes c'est au gré de mes humeurs et de mes envies.

∞ J'ai une jolie cicatrice sur la cheville gauche qui date de mes dix ans, quand je suis tombé à vélo. J'ai oublié de freiner et j'ai heurté quelque chose et la Lucy par terre et la cheville plutôt dans un sale état. De cet épisode assez douloureux, j'en rigole maintenant parce que j'étais vraiment un cas.

∞ Quand je mens, je croise les doigts derrière mon dos comme si je prie pour ne pas me faire démasquer, quand je suis nerveuse, je joue avec mes cheveux, la première mèche qui tombe sur mon visage. Tous ces gestes-là me trahissent mais c'est un automatisme. Quand je m'assois et que je me prends la tête avec quelqu'un mes jambes se croisent automatiquement pour me forcer à rester sur ma chaise, sinon, je prendrais la fuite.

Je ne pensais pas que je finirais mes jours en Ecosse, non, je suis née à des milliers de kilomètres de Glasgow, je suis née à Bakersfield, en Californie, le 25 novembre. Oui, vous pouvez en déduire que je suis Américaine. Je suis le deuxième enfant de la famille Wilson et la dernière aussi. J'ai un grand-frère de trois ans mon ainé. Apparemment, il a eu du mal à accepter le fait de ne plus se retrouver tout seul, mais il a appris. On s'est toujours pas mal chamaillé, mon frère et moi quand nous étions petits, on marchait toujours ensemble, mais à contresens pour embêter l'autre. Je voulais aller à droite, il voulait aller à gauche. Il voulait qu'on achète des bonbons aux fruits, je voulais du chocolat. On s'est toujours embêter comme ça dès notre plus jeune âge et surtout quand nous étions petits. Pourtant, mon frère, il refusait qu'on m'embête, il n'y avait que lui qui avait le droit de m'embêter. Mes parents étaient très protecteurs avec nous, ils voyaient des horreurs tous les jours. Mon père était policier, adjoint du shérif, alors cela a souvent été un bras de fer avec lui, il laissait plus de liberté à mon frère qu'à moi sous prétexte que j'étais une fille, mais je ne me suis jamais laissé faire, on se disputait beaucoup aussi vu que je contestais son autorité, mais de temps en temps, si je m'y prenais bien, il cédait à contrecœur à mes caprices. Ma mère aussi nous couvait, elle avait peur sans cesse pour nous. Elle avait du mal à nous laisser faire nos propres pas, elle était infirmière et c'était assez drôle parfois quand elle s'inquiétait, elle courrait partout, elle nous prenait la température alors que nous avions seulement un rhume. Petite, j'étais très peu discipliné, j'avais du mal à me concentrer longtemps, un rien me faisait réfléchir et me perdre dans mes pensées contrairement à mon frère qui était très bon à l'école. Mon modèle à moi ? C'était mon père et moi aussi je veux arrêter les méchants comme mon père.

Mon adolescence a été plutôt compliquée, cela a été un moment de rupture entre mes parents et moi. Je ne comprenais pas forcément leur protection. Mes réflexions semblaient logiques et rationnelle, ils n'étaient jamais d'accord avec moi. J'admirais toujours mon père qui ne se lassait jamais de son boulot et ça me vendait du rêve ses journées, vraiment. Pendant mon adolescence, je cherchais à me rapprocher de mon frère aussi et cela a marché, je traînais avec lui et avec les plus grands forcément. J'ai apprécié, au début, j'étais un peu la petite soeur de tout le groupe et mes parents me laissaient respirer. Mes relations avec mon frère étaient un peu plus calme bien qu'il refusait parfois que je sorte avec lui. Mais je suis ce genre de fille qui n'a pas vraiment froid aux yeux et je marchais toujours au culot. Ca marchait à chaque fois. A mes 16 ans, je connus mon premier amour, le nouveau copain de mon frère de l'université. Un bonheur qui a quand même duré deux mois, ma mère m'encourageait tandis que mon père faisait tout pour m'en éloigner, c'est un père tous les chéris de sa fille ont du mal à passer la porte. J'ai vécu un bonheur sans faille et je m'étais vraiment investie dans cette relation. Quand on était ensemble, on était collé l'un à l'autre à se dire des mots doux, à s'embrasser, il me faisait des promesses et j'y croyais, c'est sans doute ça le pire. Un an et demi, il me plaquait comme si je n'étais rien et que nous n'avions rien vécu. Je n'étais qu'une passade et qu'il ne m'aimait pas vraiment, j'étais seulement bonne. Quelque temps après, j'apprenais qu'il me trompait avec d'autres filles, le salop de base. C'était vraiment une mauvaise expérience et j'ai eu du mal à faire confiance à un garçon à nouveau. Comme si ça ne suffisait pas comme ça, alors que j'avais remonté la pente et que tout allait mieux. Mes parents décédèrent lorsque j'avais dix-huit ans en rentrant d'un de leur petit week-end en amoureux. Ils partaient quelquefois en week-end pour décompresser. Mon frère avait 21 ans et m'a avec lui, le forçant à travailler. J'ai pris aussi un petit boulot à côté pour payer aussi, nos parents avaient été prévoyants néanmoins, on ne touchait pas à l'argent qu'ils nous avaient placés pour nos études. Leur accident de voiture m'a motivé à l'idée de travailler dans les forces de l'ordre. Mon frère voulait devenir ingénieur, on allait s'en sortir, on était plus fort qu'on le montrait.

Mon frère a pris soin de moi pendant les trois ans qui restaient. On a déménagé à Sacramento. Après ma relation et la perte de mes parents, je ne me suis pas renfermé sur moi-même bien au contraire. Etant très imprévisible, je ne prévenais jamais mon frère de mes moindres faits et gestes et honnêtement, ça le rendait fou. D'ailleurs c'est ce qui s'est passé quand j'ai rencontré Terrence à l'aéroport de Philadelphie. J'étais venue passer quelques jours avec une amie et je devais rentrer ce jour-là chez moi.J'ai bousculé le jeune blond et cela a été le coup de foudre direct, si bien que je n'ai pas réfléchi un instant, n'ayant pas peur du danger, je l'ai suivi et j'ai embarqué dans le même avion que lui. Sa surprise ne fut pas grande lorsqu'on se retrouva sur le même vol et je lui expliquais tout sans passer par quatre chemins. Il m'a plu directement et je prenais le risque même si ça pouvait paraitre fou. Bizarrement le jeune homme a répondu à mes avances et on s'est mis ensemble. Les sentiments ont grandi et aujourd'hui ça fait trois ans que nous sommes ensemble. Personne n'aurait misé sur notre couple pourtant. Trois ans de petites disputes bien vite oubliés, d'amour et de complicité. Je ne regrette rien. Il me rend heureuse chaque jour et je ne pouvais pas rêver mieux, j'ai poursuivi mes études à ses côtés et ça fait un an et demi que je suis gendarme. Je prends la relève de mon père, je pense tout le temps à lui. Je suis vraiment fière de moi, je me suis toujours accroché à mon objectif. Ma vie me satisfait réellement pourtant en ce moment, je sens que ce bonheur sonne faux, Terrence n'est pas comme d'habitude et franchement, ça commence à m'inquiéter. Il est trop... gentil et prévenant, il est constamment là derrière moi, on dirait qu'il veut se faire pardonner ou un truc comme ça. Il n'a jamais été comme cela et je commence à prendre du recul, il me cache quelque chose et je ne vais pas tarder à savoir ce que c'est.

Veuillez noter que les questions suivantes serviront à évaluer la psychologie de votre personnage pour lui attribuer de futurs imprévus lors des rps. Tâchez donc de ne pas vous répéter à chaque question. Vous pouvez très bien ne répondre qu'une ligne pour chaque question, ou faire un paragraphe si désiré. L'important, c'est que vous y répondiez en prenant en compte le caractère et l'histoire de votre personnage. Veuillez ne choisir que 5 questions et supprimer les autres s'il vous plait.


Un seul souhait ? Ce n'est pas beaucoup. Enfin, sans hésiter, je voudrais que mes parents soient à nouveau parmi nous. Ils me manquent chaque jour et mon frère et moi étions bien trop jeunes pour perdre nos parents, en même temps il n'y a pas d'âge, on est toujours trop jeunes pour les perdre. On a géré chacun notre douleur de notre côté avec mon frère, mais je ne souhaite à personne de connaitre ça. Sinon, je ne souhaite rien d'autres, ma vie est très bien comme elle est, elle me satisfait pleinement.

Je déteste aller faire les courses, ça m'énerve. Se faire bousculer dans les rayons, attendre longtemps à la caisse, payer, en plus mon copain n'est pas facile non plus niveau alimentation, il surveille tout. Même avant lui, j'avais déjà horreur de ça. En plus mon frère m'envoyait toujours les faire, c'était pas juste.

Mon portable, je l'ai toujours à disposition, au cas où. Je ne suis pas accro, enfin, je ne me définirais pas comme ça mais j'aime envoyer des sms à mon copain ou même à des amis. Je suis toujours disponible - ou presque -.

Les maltraitances envers les femmes et/ou les enfants. Les enfants me touchent plus quand même, ce sont des êtres innocents, je suis intraitable avec les personnes qui leur font subir des violences. Cela a le don de me foutre en colère, vous ne pouvez pas savoir. Ca me donne envie de fracasser un mur à chaque fois sur ce genre d'affaire. Enfin, techniquement tous les délits "grave" me répugne.

Oui j'adore mon métier,je ne changerais pas d'ailleurs. C'est un métier à risque mais d'essayer de rendre service aux autres, enfermer les méchants, enfin essayer, faire la part des choses, enquêter, tout ce côté-là me plait.